Une des formes les plus populaires de jeûne intermittent est l’alimentation 16:8, où l’apport alimentaire est restreint à une fenêtre de 8 h, en alternance avec des périodes de jeûnes de 16 h. Ce type d’alimentation implique donc de prolonger la période de jeûne, soit en retardant ou éliminant le premier repas (petit déjeuner) ou en devançant le moment du dernier (souper). Voici un survol des avantages et inconvénients associés à chacune de ces deux approches.
Faire de l’exercice durant un ou deux jours par semaine permet d’obtenir les mêmes bienfaits pour la santé mentale qu’en faire tous les jours de la semaine, selon une étude récente.
Plusieurs études rapportent que les aliments fermentés ont des effets positifs sur le microbiote intestinal et réduisent l’inflammation, un important facteur de risque de l’ensemble des maladies chroniques.
La colère affecterait la santé des vaisseaux sanguins en nuisant à la vasodilatation dépendante de l’endothélium, selon une étude randomisée et contrôlée.
Selon une étude, des athlètes d’élite qui ont couru un mile en moins de 4 minutes ont une longévité accrue par rapport à la population en général, un résultat en contradiction avec l’hypothèse selon laquelle l’exercice extrême serait nuisible pour la santé et réduirait la longévité.
Selon une étude récente, une hausse de la température corporelle provoquée par une exposition passive à la chaleur cause une augmentation importante du débit sanguin myocardique, ce qui n’est pas sans risques pour les personnes atteintes d’une maladie coronarienne.
Le développement de l'athérosclérose est fortement accéléré suite à un apport en protéines supérieur aux recommandations.
Selon une étude italienne, la présence de particules de plastique dans une plaque de l’artère carotide chez des patients était associée à un risque plus élevé de décès ou d’événements cardiovasculaires majeurs, comparativement aux patients dont les plaques ne contenaient pas de plastique.
L’âge représente un important facteur de risque pour l’ensemble des maladies chroniques, ce qui implique que la découverte de moyens de ralentir le vieillissement pourrait simultanément retarder l’apparition de toutes ces maladies et améliorer considérablement l’espérance de vie en bonne santé.
Les femmes bénéficieraient de plus grands bienfaits de l’activité physique pour la santé que les hommes à des doses équivalentes ou inférieures, selon une étude auprès de 412 143 Américains adultes.