Dossiers
Pour faciliter la recherche d’informations, les articles portant sur certains sujets particulièrement importants pour la prévention des maladies cardiovasculaires sont regroupés sous forme de dossiers rapidement accessibles.

Alimentation
Plusieurs études indiquent que l’adoption d’une alimentation de type méditerranéenne diminue le risque de maladies cardiovasculaires et améliore la survie des patients atteints de maladies coronariennes.
Après une crise cardiaque, l’alimentation méditerranéenne permet de réduire significativement le risque de récidives
Une grande étude espagnole confirme que chez les personnes affectées par une maladie coronarienne, l’alimentation méditerranéenne réduit considérablement le risque d’accidents cardiovasculaires.
Ozempic® (semaglutide) et Mounjaro™ (tirzepatide), une grande avancée pour le traitement de l’obésité
Initialement développés pour traiter les patients atteints d’un diabète de type 2, ces médicaments entrainent également des pertes de poids importantes et sont en train de s’imposer comme les premiers traitements pharmacologiques véritablement efficaces contre l’obésité.
Avoir un mode de vie sain pourrait ralentir le déclin de la mémoire
Selon une étude réalisée en Chine, le déclin de la mémoire était plus lent chez des personnes âgées qui avaient un mode de vie sain, même chez celles qui avaient un facteur de risque génétique (APOE4) pour la maladie d’Alzheimer.

Exercice physique
Un avalanche d’études ont montré que l’activité physique régulière est un véritable « médicament universel », associée à une diminution marquée du risque de maladies chroniques et à une hausse de l’espérance de vie en santé. Et la quantité d’exercice requise pour profiter de ces bienfaits est beaucoup moins élevée qu’on peut le penser.
Avoir un mode de vie sain pourrait ralentir le déclin de la mémoire
Selon une étude réalisée en Chine, le déclin de la mémoire était plus lent chez des personnes âgées qui avaient un mode de vie sain, même chez celles qui avaient un facteur de risque génétique (APOE4) pour la maladie d’Alzheimer.
Les bienfaits d’une marche à l’extérieur sur le cerveau
Une marche de 15 minutes à l’extérieur améliore la cognition, selon une étude canadienne.
Des microorganismes intestinaux stimulent la motivation à faire de l’exercice
Chez la souris, certaines espèces de bactéries intestinales produisent des molécules qui activent des nerfs qui sont connectés au cerveau, stimulant ainsi des circuits de récompense associés à l’exercice.

Tabac et cigarette électronique
En dépit des progrès considérables de la lutte anti-tabac, la cigarette demeure une des principales causes de mortalité prématurée dans notre société. Un nombre croissant d’études indiquent que la cigarette électronique pourrait s’avérer une arme de choix pour contrer les ravages associés au tabagisme
Remplacer le tabac par la cigarette électronique réduit le risque d’accidents cardiovasculaires
Les personnes qui utilisent exclusivement la cigarette électronique comme source de nicotine diminuent de 33% leur risque de maladies cardiovasculaires comparativement aux fumeurs.
Trouver le juste équilibre entre les risques et les bénéfices associés à la cigarette électronique
Il est essentiel que les politiques visant à prévenir le vapotage chez les jeunes n’interfèrent pas avec le rôle bien établi de la cigarette électronique dans le sevrage tabagique des fumeurs adultes.
Bannir les saveurs des liquides de vapotage ? Une bien mauvaise idée.
Il serait extrêmement dommage que la panique morale générée par la hausse du nombre de jeunes vapoteurs prive les individus qui doivent composer avec une très forte dépendance au tabac du meilleur outil identifié jusqu’à présent pour cesser de fumer, soit le vapotage de saveurs autre que le tabac.

Environnement
Marcher en forêt a des impacts positifs sur le cerveau
Une étude rapporte qu’une heure de marche en forêt est associée à une diminution significative de l’activité de l’amygdale, la zone du cerveau impliquée dans la réponse au stress.
Effets nocifs de l’exposition aux « produits chimiques éternels » sur la santé
Les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS), surnommés « produits chimiques éternels » à cause de leur très grande stabilité, et qui sont utilisés dans des produits de consommation courante (par ex. : cosmétiques, emballages) peuvent avoir des effets nocifs sur la santé humaine.
Les phtalates : une composante de certains plastiques et produits cosmétiques nuisible à la santé humaine
Une étude récente indique que l’exposition aux phtalates est associée à une augmentation importante du risque de mortalité cardiovasculaire et de toute cause.

Stress
Marcher en forêt a des impacts positifs sur le cerveau
Une étude rapporte qu’une heure de marche en forêt est associée à une diminution significative de l’activité de l’amygdale, la zone du cerveau impliquée dans la réponse au stress.
Association entre le stress chronique et la crise cardiaque
Des concentrations élevées de cortisol dans les cheveux, un biomarqueur du stress chronique, ont été associées à un risque accru d’infarctus du myocarde chez des personnes d’âge mûr.
Les plantes d’intérieur ont-elles des effets bénéfiques sur la santé ?
Les plantes d’intérieur peuvent procurer des bienfaits pour la santé mentale et physiologique selon des données probantes de la recherche.

Médicaments
Ozempic® (semaglutide) et Mounjaro™ (tirzepatide), une grande avancée pour le traitement de l’obésité
Initialement développés pour traiter les patients atteints d’un diabète de type 2, ces médicaments entrainent également des pertes de poids importantes et sont en train de s’imposer comme les premiers traitements pharmacologiques véritablement efficaces contre l’obésité.
Le yoga et autres pratiques holistiques améliorent le contrôle de la glycémie chez les diabétiques
Selon une méta-analyse de 28 études d’intervention, les pratiques holistiques (impliquant le corps et l’esprit), tout particulièrement le yoga, améliorent le contrôle de la glycémie chez des personnes atteintes de diabète de type 2.
Contrôler l’inflammation grâce à l’alimentation
Des études récentes rapportent qu’une alimentation qui réduit l’inflammation chronique est associée à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires.